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Malacca

  • Photo du rédacteur: Norbert Sauvageon
    Norbert Sauvageon
  • 3 juil. 2016
  • 2 min de lecture

Nous partons visiter la petite ville de Malacca inscrite au patrimoine mondial de l'UNESCO.

Elle a su conserver ses maisons traditionnelles, héritage de son prestigieux passé colonial des époques portugaise et hollandaise quand la ville était un port de première importance.

Ruines d'une église portugaise du XVIème siècle.

Le Red square, la place centrale de Malacca avec ses bâtiments de l'époque hollandaise.

Eglise anglicane.

Faites votre choix en matière de pouss-pouss local, plus kitschouille tu meures !

Nous allons ensuite visiter une maison Baba et Nyonya.

What's this ???

Ce sont les descendants des premiers immigrants chinois qui s’établirent à Malacca et épousèrent des Malaises.

Ils sont connus sous le nom de Baba pour les hommes et de Nyonya pour les femmes. Ils adoptèrent donc certaines coutumes locales tout en gardant leur identité chinoise.

C'étaient principalement de riches commerçants vivant dans un luxe aux accents baroques, il reste de nombreux vestiges de leur puissance passée dans la ville mais la modernisation rapide du pays tend à faire disparaître leur identité et leurs traditions. On peut donc visiter quelques unes de leurs opulentes maisons d'époque pour comprendre leur histoire et leurs coutumes.

Ca n'a pas l'air comme ça, mais les maisons sont très grandes et très profondes à l'intérieur.

Bon, passé cette porte nous n'avons plus le droit de prendre des photos, mais sachez que c'est un enchevêtrement de pièces très riches et joliment sculptées avec de magnifiques meubles et objets d'époque ainsi que quelques costumes traditionnels. Un incontournable à ne pas râter !

De retour au soleil, on se laisse guider aux hasards des rues.

Pour finalement visiter ce joli temple bouddhiste, taoïste et confucianiste, les 3 enseignements de la spiritualité chinoise.

Les tablettes funéraires des ancêtres où l'on vient allumer de l'encens en souvenir et respect des défunts.

Pause café pour J-L et Annick avant de repartir.

En pouss-pouss ? Et pourquoi pas celui-là...

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